Article mis à jour le 26 mai 2020.
Test réalisé à partir d’une version japonaise. Ce jeu propose des textes majoritairement en japonais et de nombreux mots en anglais. |
Dans la famille des otomes/jeux de rythme, difficile de rivaliser avec la licence Uta no Prince-sama. Pourtant, en 2014, les studios Rejet et Otomate unissent leurs talents pour lancer un jeu : Marginal#4 Idols of Supernova. 3 ans plus tard, le second opus Road to Galaxy offre d’avantage un jeu de rythme avec des éléments de romance pour un résultat des plus réussi.
— Le système —
Marginal #4 Road to Galaxy est un pur jeu de rythme. Pour débloquer les scènes des différents scénarios, il vous faudra compléter les chansons un certain nombre de fois en atteignant un rang A au minimum. En plus de l’histoire principale, il y a 77 scènes bonus à compléter.
Une fois toutes les scènes acquises, un nouveau mode de difficulté se débloque : le Road to Galaxy. A vous de compléter toutes les chansons dans cette difficulté soit disant « extrême »
Le jeu propose des choix de réponses qui détermineront les différentes fins avec les personnages ainsi que les illustrations à collectionner.
— Les graphismes —
Sans être un monstre graphique, Marginal#4 Road to Galaxy est plutôt joli avec ses couleurs agréables. Le jeu offre le minimum syndical mais l’important est ailleurs. La partie jeu de rythme met en avant les personnages en mode « chibis » et leurs tenues changent selon les chansons, un petit plus anodin mais pas moins sympathique.
— Avis —
Je vais être honnête avec vous : j’ai adoré Marginal#4 : Road to Galaxy. En le considérant d’avantage comme un jeu de rythme dosé avec de la romance et de la tranche de vie, j’ai apprécié ces quelques heures passées en compagnie des différents personnages. Certes, ils ne brillent pas par leur originalité mais ils sont sympathiques et chacun y trouvera son chouchou.
La partie jeu de rythme est réussie même si les fans hardcore du style y trouveront à redire sur la difficulté. En effet, le jeu n’est pas très difficile, même le mode extrême que l’on débloque à la fin est « facile ». On est loin de la difficulté parfois insurmontable des jeux Uta no Prince-sama Music. D’un côté, cela rend l’expérience agréable autant musicalement que console en main mais on regrette presque de ne pas avoir été confronté à quelques difficultés.
Marginal#4 : Road to Galaxy n’a aucune prétention de révolutionner le genre mais il se révèle suffisamment frais et pêchu pour être une parenthèse bienvenu dans un genre qui oublie parfois l’essentiel : passer de bons moments !
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